Nahuel di Pierro prête sa voix de basse au personnage d’Hercule. Avec des notes graves rondement menées et une agilité dans l'aigu (flirtant avec la voix de tête) cet anti-héros (qui traumatise toute sa famille dans cette histoire) incarne aussi dignement les sentiments de force et de séduction du personnage. 
Agostino Trotta- Olyrix
 Sur le plateau, la distribution est elle aussi au sommet (de l’Olympe). À commencer par Nahuel di Pierro qui offre à Hercule une magistrale incarnation. Force, ruse, concupiscence, violence, amour et enfin majesté : chaque trait de caractère s’imprime sur la voix de basse avec beaucoup d’acuité et une apparente facilité. 
Jean-Marc Piriu- Bactrack
 l’Hercule roublard de Nahuel di Pierro et pourtant toujours élégant et précis, dont la mort nous glace le sang par surprise 
Guillaume Saintagne - Forumopera
 Nahuel di Pierro s’amuse, c’est évident, à incarner cet Hercule sans scrupule, jouisseur et séducteur de pacotille, prêt à sacrifier son fils Hyllus pour séduire l’amoureuse de ce dernier, la douce et pure Iole. Sa voix de basse, aux graves profonds, se déploie avec facilité et netteté dans ce rôle somme toute peu sympathique. Le registre intermédiaire est d'une grande douceur, suave et lié avec goût. 
José Pons - Olyrix
 A cet éclat scénique répond une généreuse fête de la musique menée par une distribution sans faille. Voix de bronze, solide comme sa cuirasse, Nahuel di Pierro campe un Hercule à la fois fier, un peu obtus, mais en qui le doute peu s'immiscer. 
Philippe Venturini - Les echos
 Ercole, le héros de la soirée s’appelle Nahuel di Pierro. Le baryton s’amuse à dessiner un personnage bestial de mufle autoritaire et libidineux avec une belle richesse de couleurs et un aplomb vocal paradoxalement très séduisants 
Hugues Rameau-Crays - Classique C Cool
 Dans cet écrin, Nahuel di Pierro y dépeint un Hercule viril, fort d’une projection solide et d’un caractère bien trempé. 
Charlotte Saulneron - Resmusica
 Dans le rôle-titre, Nahuel Di Pierro fait merveille : incarnation racée servie par un instrument très malléable qui montre combien il s’enrichit avec le temps – et la fréquentation de répertoires aussi variés que judicieusement choisis. 
Alain Cochard - Concertclassic
 Nahuel Di Pierro sonde le rôle-titre, retient ses coups pour mieux les lâcher au moment de la mort - puissance, verbe et intention ne font alors plus qu'un. 
Diapason
 Di Pierro was superb in the title role. The voice has gained some wonderful resonance at the bottom, apparent as he descended to the sepulchral depths. Even when negotiating some highly declamatory writing, there was never a tendency to hector, the tone always full. He’s also an expressive actor, able to fill out his character’s predicament, and fully game in frolicking around the set. Most impressive. 
Opera traveler
 The Argentinian bass Nahuel di Pierro played the role of Hercules with great energy, displaying the flexibility of his voice in the many runs and ornaments which are a chance for Baroque singers to show-off their skill. 
William Sharpe- Operawire